Djibouti est une entreprise privée dont le PDG n’est autre
que le dictateur Ismael Omar Guelleh !
Si le PIB de Djibouti est l’un des plus élevés d’Afrique, le
taux de pauvreté avoisine le 90% dont plus de 50% d’extrême pauvreté.
L’argent du peuple djiboutien est utilisé pour garantir le pouvoir à vie du
dictateur Guelleh. Pour sa tranquillité Guelleh arrose la presse étrangère
surtout somaliphone (tel : BBC, VOA, ect..), mais également francophone
(tel : Jeune Afrique, …).
En dehors de la presse, Guelleh finance des lobbyings
mafieux qui lui assurent des entrées auprès des chancelleries occidentales,
chinoises, arabes ou des autres organismes sous-couverts des bailleurs de fond qui spéculent sur l’endettement des pays africains.
Mais, la presse ou les lobbyings ne suffisent plus à Guelleh pour pérenniser son pouvoir à vie, il investit beaucoup dans l’opposition. Il a
réussi à placer des infiltrés au cœur décisionnaire de l’opposition pour être
en avant-poste des projets de l'opposition et contrecarrer toutes actions de celle-ci.
Certains partis ont même des conseillers auprès du
gouvernement. En gros, ils conseillent le régime sur le comment, il faut
combattre la minorité de l’opposition qui représente la majorité de la
population. En réalité, l’opposition
vient d’inventer une « démocratie des chefs ». Un groupe de quelques
individus qui ne représentent en réalité rien s’auto-octroient des pouvoirs pour
museler la masse militante.
Mais, l’emprise du régime sur l’opposition ne s’arrête pas
aux frontières de Djibouti, mais s’étend et a des tentacules en l’Europe
jusqu’en Amérique!
En Europe et en Amérique, l’opposition est paralysée par la
volonté de quelques individus qui par un
jeu subtile de la dictature, se retrouvent salariés de l’entreprise IOG. Ce Jeu subtile consiste à faire croire aux
intéressés que les membres du régime Guelleh participent à une solidarité
clanique, ethnique ou tribale envers eux!
Pour certains, cette prostitution est assumée pleinement en
allant ouvertement en lieu de résidence d’un certain ALI Guelleh ou d'autres émissaires du régime lors de leurs
nombreux passages à PARIS ou Bruxelles. D'autres passent par la porte
derrière, parlent des visites privées ou des liens familiaux.
Ces salariés d’un nouveau genre sont payés pour leurs
inactivités et leurs capacités à contenir les autres opposants. Ils passent
leur temps à épier les faits et gestes des vrais opposants. Des fois, ils utilisent des titres pompeux
pour discréditer l’opposition djiboutienne auprès des organismes, partis ou
gouvernements étrangers.
Ces salariés du régime font un travail de titan pour stopper
au mieux ralentir le travail de l’opposition afin d’assurer la longévité du
régime et ainsi leur gain du pain!
Beaucoup des djiboutiens se posent la question de l’inaction
de l’opposition, mais ne soupçonnent pas un instant que bon nombre des « responsables
usn » qui sont des salariés du régime avant de se faire passer
pour des démocrates luttant contre la dictature.
La phonie des salariés du régime réside dans l’expression
démocratique du peuple djiboutien où qu’il se trouve!
Ils s’inventent toutes les prétextes pour que les gens ne choisissent pas librement leur responsables qu’on soit dans la
diaspora ou au pays.
Le premier prétexte est que le peuple djiboutien n’est pas
prêt pour choisir ses responsables. En
réalité c’est eux qui ne sont pas prêts. On oublie souvent de leur répondre
avec ce dicton : « C’est en forgeant qu’on devient
forgeron ». C’est en utilisant la
démocratie, qu’on devient de plus en plus démocrate, rien n’est
inné ! Ceux qui disent que le
peuple n’est pas prêt invoquent des prétextes coutumières, comme si la
dictature était la pratique de nos ancêtres !
Ces gens se battent bec et ongle pour perdurer le système
dont ils prétendent combattre car c’est leur gain de pain !
L’Usn dont le peuple a cru une lueur d’espoir un moment, se
transforme un piège redoutable pour les démocrates accusés de travailler pour
la dictature s’ils essaient de formuler une once de critique au fonctionnement
de l’appareil. Le culte du dictateur est
remplacé par le culte du haut conseil !
Critiquer le haut conseil ou de l’usn est synonyme de
trahison ou crime qui vous conduiront à
excommunication de la communauté « démocratique » !
Les démocrates sont chassés de l’usn, soit par leurs propres
partis dont la démocratie ne dépasse pas le cadre du slogan, soit par la
déception donc il y a de tromperie dans la marchandise de
l’usn !
Cette USN ne correspond aucunement à celle vendue au peuple
djiboutien lors de la campagne électorale des élections législatives.
Chacun doit assumer ses responsabilités en particulier les
oulémas et le leader du parti MRD les seuls dont le peuple avait encore un peu
de confiance et qui sans eux le peuple n’aura ni voté, ni suivi les
salariés du régime.
Il en va de votre crédibilité si vous laissez cette machine
usn continuer sur cette voie !
C’est soit la démocratie au sein de l’opposition ou bientôt
la naissance d’une vraie opposition contre
la dictature en dehors de l’usn et qui amènera la révolution salvatrice!
Nous ne pouvons pas cautionner la continuité de la dictature
Guelleh après que des jeunes sacrifient leur vie!
Nous ne pouvons pas accepter que des jeunes sacrifient leur
vie et subissent les tortures pour que certains obtiennent des postes !