jeudi 27 décembre 2012

UE à l'heure des choix!!

Dans l'approche des prochaines élections législatives, la dictature de la junte familiale use tout son pouvoir pour amadouer les chancelleries occidentales en promettant les uns et aux autres des bases et un meilleur accueil à leur soldats en luttant contre la piraterie en échange d'un silence complice aux mascarades élections que la dictature souhaite organiser à sa guise.

Apparemment, la rencontre entre le PM djiboutien Mr deleita et la chef de la diplomatie européenne, donne un certain d'espoirs à la dictature qui souhaite voir l'UE dans un rôle de validateur de cette mascarade.
Le PM ('premier mouton') comme le surnomme les djiboutiens(nes), a négocié discrètement le silence de l'UE en échange d'un accord sur la lutte de la piraterie dans l'océan indien.
voir l'article:
http://www.consilium.europa.eu/uedocs/cms_Data/docs/pressdata/FR/foraff/134528.pdf (FR)

Déclaration de Mme Catherine Ashton, Haute Représentante de l'Union, à la suite de sa rencontre avec le premier ministre de Djibouti :


La Haute Représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et vice-présidente de la Commission a fait ce jour la déclaration suivante:
"J'ai été ravie de rencontrer M. Dileita Mohamed Dileita, premier ministre de Djibouti. Je l'ai remercié pour la contribution qu'apporte son pays à la lutte contre la piraterie et au renforcement
de la sécurité maritime dans la région, notamment en accueillant sur son territoire l'état-major de notre mission EUCAP 'ESTOR.

J'ai également remercié le premier ministre pour le soutien logistique que Djibouti fournit à l'EU'AVFOR Atalanta, qui a réussi dans une large mesure à réduire sensiblement le nombre
des attaques de pirates dans la partie occidentale de l'océan Indien. Je lui ai fait savoir que l'UE se félicitait que son pays continue d'appuyer l'AMISOM en mettant à sa disposition des soldats qui,
au péril de leur vie, aident à stabiliser la Somalie voisine.

Nous nous sommes aussi entretenus du rôle de l'IGAD. J'ai insisté sur le fait que l'UE saluait la volonté de Djibouti de renforcer et de restructurer cette organisation régionale; à cet égard,
j'ai appelé à un ferme engagement de la part de tous les États membres de l'IGAD et j'ai donné au premier ministre l'assurance que l'UE restait déterminée à aider ceux-ci à améliorer le
fonctionnement de cette organisation.

J'ai dit à M. Dileita que l'UE restait favorable à ce que des réformes politiques soient menées dans son pays, et souligné à ce sujet l'importance que revêtent l'État de droit et le respect des droits
de l'homme. Nous avons parlé de l'approche de Djibouti à l'égard de la réforme du processus électoral. Je me réjouis à la perspective de voir une mission d'experts de l'UE dans le domaine électoral se rendre à Djibouti pour les élections législatives de février 2013.".

Les choix economiques de la junte familiale

Depuis l'ascension du chef de la junte à la fonction suprême du pays ses acolytes nous bassinent à longueur des journées que le grand timonier conduirait le pays au royaume de l’abondance et de la richesse au même titre que Dubai!
Même le dictateur a cru son destin messianique au point de déclarer dans le journal jeune Afrique" j'ai un peuple à nourrir"!! .

Au premier abord, rien de plus normal dans un pays pauvre qu'un politicien véreux de surcroit un dictateur veut croire au peuple miséreux qui les rendra riches au point qu'ils mettent de côté leur liberté et la démocratie en attendant des jours meilleurs.

Mais, presque deux décennies plus tard, force est de constater que le pays est aussi pauvre que le jour de "son ascension au pouvoir"(dans les conditions que beaucoup des djiboutiens(nes) se souviennent encore).

Pourtant, les conjonctures mondiales ont été favorables pour le développement du pays pendant le règne du dictateur iog par rapport à celle de son oncle goulet.
-->  guerre Éthiopie et erythrée qui a propulsé djibouti au rôle de seul port d’Éthiopie, un pays de 80 millions d'âmes à nourrir.
--> attentat terroriste au usa qui a propulsé djibouti la plaque tournante du dispositif américain pour mener cette guerre.

En outre, grâce à son ancien ami borreh, iog a eu un accès privilégié aux monarchies du golfe et aux investissements arabes.

Iog a eu un autre capital non négligeable dû à son jeune age et son expérience au sein du régime lorsqu'il a accédé au fonction suprême, beaucoup pensaient qu'il pourrait être l'homme de reforme du régime et cette analyse était partagé par les chancelleries occidentales qui ont facilité au régime à l'accès aux crédits de bailleurs de fonds.

Alors après,  12 ans au pouvoir, que faut-il retenir de l'action du dictateur et qu'a-t-il fait des conjonctures favorables et au capital de sympathique qu'il a eu auprès des chancelleries et une partie du peuple djiboutien.

Il faut reconnaitre qu'à son arrivée au pouvoir iog a adopté une stratégie tape-à l’œil et de communicant pour faire croire au peuple qu'il peut changer le pays:
--> cette stratégie était basée : sur l'industrie à l'échelle du pays et surtout le sud du pays. Il s'agissait la vision  passéiste de l'économie au lendemain des indépendances africaines.
En matière économique, iog n'avait aucune vision, ni aucune stratégie, mais voulait utiliser ses contacts arabes via boreh (ancien ami devenu son ennemi par la force des choses), ainsi que les mêmes recettes qui avaient déjà échoués en Afrique et ailleurs.
Le monde de l'économie avait changé, mais iog était déjà l'homme du passé à son arrivé à la fonction suprême. Mais, ceci pourrait être rectifié, si iog n'était pas un dictateur qui décide seul et  considère connaitre tout. La seule personne qui peut lui changer d'avis est sa femme, également une personne du passée de la même trempe de leila trableski.

Au bout de quatre ans, la stratégie industrielle du dictateur s’avérait désastreuse à tout point de vue, çà était un échec total :  aucune usine ne fonctionnait.

Depuis, la dictature s'est installée dans une schizophrénie sans fin qui se cache sous l'ombre des rentes des bases militaires. A tel point que le pays est  devenu une plateforme multinationale des bases militaires.
Le manque de vision de stratégie est tellement criante qu'aujourd'hui le pays est entièrement sous la domination éthiopienne en matière énergétique et alimentaire.
Les infrastructures du pays sont en très mauvaises états : la route reliant djibouti de l'éthiopie est en mauvaise état et la junte n'envisage pas d'investir pour la transformer en autoroute qui pourrait aérer le poumon de l'économie djiboutienne(le port).
L'autre moyen de transport : le chemin de fer est totalement mort à l'arrêt depuis plus de 4 ans.
Comme le dictateur n'a pas un niveau d'instructions suffisant pour avoir une vision large sur l'économie, et qu'il se satisfait ce qui est visible et du moment qu'il a vu que le port pourrait rapporter beaucoup grâce à son ancien ami" boreh" qui l'a initié en matière portuaire.
Le dictateur multiplie l’implantation des ports, ainsi que les bases militaires sur l'ensemble du territoire dans un esprit de rente et  sans aucun moyen de développement en perspective pour le pays.
  




samedi 10 novembre 2012

Djibouti bientôt democratique?

Voila une question qui taraude à la tête de certains mes compatriotes(opposants ou simples citoyens) sans vraiment y croire.
J'exclus volontairement cette liste des rêveurs, la junte au pouvoir ou ses partisans qui eux espèrent passer cette période tragique aux dictateurs.
Il est vrai la période est difficile aux dictateurs, même si la boucherie en cours en Syrie leur donne un boom au cœur.
Il est clair que l'atermoiement des démocraties face à la boucherie syrienne a douché les espoirs des démocraties et les peuples opprimés.
Et contrairement, au message de félicitation de façade, iog et beaucoup des dictateurs africains en général et dans le monde avaient mis leur espoir sur la défaite d’Obama.

Pour le peuple djiboutien et je sais que çà déplait au dictateur djiboutien, jamais dans l'histoire récente, les conditions d’accès à la démocratie n'ont jamais été aussi favorables.
 L'élection de Hollande en France et la réélection d’Obama aux usa , deux puissances militaire stationnées à djibouti, ne verront pas de bon œil un nouveau coup de force flagrant d'iog aux élections législatives de printemps prochain.
Alors la dictature espère dribler le monde en fabricant des opposants dociles à la sauce de la dictature et  ou en retournant d'anciens membres de la junte au pouvoir passés à l'opposition pour  des histoires de partages de gâteaux au sommet de l'état.
Le peuple d'opposition commence à se sentir trahir par des pseudos négociations dictées par la dictature.
 Et, que des pseudo leaders d'opposition enterrent le memorandum des partis d'opposition sur la démocratie  qui était sensé être la pierre angulaire  de toute négociation avec la dictature.

Il faut reconnaitre que les leaders d'oppositions d'hier et d’aujourd’hui portent leur part de la tragédie du peuple djiboutien.
Les leaders d'oppositions d'hier ont commis une faute grave en acceptant  d'exclure le mode électoral de  la constitution  et le reléguer en loi organique dicté par le dictateur lui-même:  
Loi organique n° 1/ AN /92 relative aux élections.

ARTICLE 29. - L'Assemblée nationale est composée de 65 membres élus pour cinq ans au scrutin de liste majoritaire à un tour, sans panachage ni vote préférentiel. Elle se renouvelle intégralement et ses membres sont rééligibles.
Ceux d'aujourd'hui, font exactement les mêmes erreurs en négligeant le peuple djibouti dans leur combat et adoptant des négociations d'appareils à la place de la démocratie.
Mais, diable pourquoi l'opposition a peur de la démocratie, elle aurait tout à y gagner.
 Je suis peut-être un doux rêveur, mais je rêve que l'opposition organise des primaires démocratiques pour choisir son leader avec la participation du peuple d'opposition.
A mon avis, le leader d'opposition aurait plus de légitimité du dictateur que la donne aurait changé à djibouti.
Mais, les leaders de l'opposition, pensent à leur destin personnels que celui de la nation qu'ils ne sont pas prêts à bousculer les choses et mettre iog au pied du mur.
Pour l'instant, iog mène le jeux en bluffant(en sachant qu'il n'a plus d'atout) et l'opposition a des atouts mais elle n'utilise aucun et étale ses faiblesses.
Alors, peuple djiboutien! a toi le courage pour changer la donne!! La démocratie est à notre porté, si on la veut vraiment! peuple djiboutien, la jeunesse djiboutienne, tu peux la faire!


 

dimanche 8 juillet 2012

La reprise de la révolution khamzine?

Même si cette question n'a pas de réponse dans l'immédiat, la probabilité pour que le mouvement de la liberté et la démocratie reprend ne fait aucun doute aux yeux de l'ensemble des djiboutiens(nes) sans parler du peuple de l'opposition qui s'impatiente à découdre avec le dictateur.
 Plusieurs signes manifestent en ce sens:
  1)  L'arrogance et l’humiliation du peuple par le couple démoniaque du "bet el wali! " atteint des proportions jamais égalées.
  2)  La disparition de l'allier  français (sarkozy).
  3)  Le front de la liberté et de la démocratie avance dans les anciennes dictatures , même s'il rencontre beaucoup d'obstacles surtout en syrie.
  4) Le courage du peuple syrien montre que le temps des dictatures est maintenant révolu.
  5) Le mouvement actuellement en cours au soudan  indique que la flamme de la liberté n'est pas éteinte par le sang du peuple syrien, mais au contraire prend racine dans les cœurs des peuples humiliés.
  6) A l'échelle nationale, la chute du mur anti-islamiste de l'occident  a donné des sueurs froids à la dictature qui comptait sur le chantage : dictature ou islamiste pour faire durer la survie de celle-ci.

En conséquent, des nouveaux acteurs s'invitent sur la scène nationale, les islamistes (certains modérés et d'autres plus intégristes).
Longtemps chouchoutés par la dictature pour faire peur aux occidentaux, ceux-ci deviennent l'ennemie à abattre et commencent à grossir les rangs de l'opposition qui n'en demandaient pas plus.
Même si les rapports de force commencent à être favorable à l'opposition de la dictature, celle-ci reste hétéroclite et sans âme.
En outre, la dictature reste ferme sur aveuglement  et ne propose aucune porte de sortie.
La situation reste explosive et la moindre étincelle pourra causer la fin du pays.
Nul n'en doute qu'il s'agit le souhait de la dictature pour échapper à la justice, mais l'incompréhension du peuple réside sur la léthargie actuelle de l'opposition.
Qu'attendent-ils pour laisser de côté leur ambition personnelle au service du collectif et du pays?
Qu'attendent-ils pour introduire la démocratie et les élections libres dans  leur instances et demander au peuple d'élire leurs représentants pour que ces derniers prennent contact avec le monde libre en tant que représentant du peuple djiboutien ?
En gros, nous attendons .................





vendredi 3 février 2012

Le reveil de la conscience djiboutienne: le 18 fevrier

Le 18 Février 2011, le peuple djiboutien levait la tête et entamait la révolution khamzine pour dire non la dictature et au prolongement indéfini de la durée de celle-ci.
Comme tant d'autres peuples epris de liberté le peuple djiboutien souhaitait mettre fin la dictature de 30 ans.
Contrairement à d'autres peuple, le peuple djiboutien n'a pas pu faire évoluer sa révolution au point de non-retour qui aurait basculé le pays en état de reveil de la  conscience du peuple.
Le reveil de la conscience n'a pas pu avoir lieu, même si le dictature a vu passer de très près.
Nous voici, l'anniversaire de cette date dont beaucoup des jeunes ont cru la fin de la dictature.
Que peut-on dire de ce jour si exceptionnel que le régime a des sueurs froids sur le seul fait d'y penser!
Et, depuis qu'a changé le régime pour éviter qu'un tel jour se présente à nouveau pour aller au bout cette fois-ci.
Je peux vous affirmer que rien n'a été changé!
Le régime compte toujours sur sa force.
Le pays est toujours aussi si mal gouverné! Et, la dégradation continue à un rythme jusqu'à là non égalé!
La situation du peuple se dégrade de plus en plus.
L'injustice continue a être la colonne vertebrale de la gouvernance actuelle.
La corruption atteint son niveau le plus élevé, alors que les djiboutiens pensaient que l'éviction des "vieux corrompus", allait provoquer un electrochoc au seins de l'administration et faire peur aux jeunes loups affamés.
La réalité fut bien plus différente, ce gouvernement semble être le corrompu jamais nommé.
Le dictateur fait comme à son habitude des promesses de départ et se permet même de partager avec nous ses réflexions sur la transmission du trône à quelqu'un qu'il choisira au moment venu!

De l'autre côté, le peuple djiboutien hésite entre la situation de mort long que le dictateur l'impose, ou le fleuve des sangs que le régime les abreuve à longueur des journées à travers la télévision en montrant les détails des massacres perpetrés par ses collègues dictateurs aux autres peuples frères (syriens, yemenites) qui essaient de se liberer!
En plus, l'opposition djiboutienne manque cruellement de cohésion et des idées novatrices pour pousser le régime à la faute. Elle attend toujours la fenêtre de tir pour sortir du bois!

La dictature a toujours des soutiens à l'étranger (surtout en france: sarkozy) en échange des valises de faux billets blanchis via la banque national.

Pourtant, le régime aurait tort d'attendre, car le vent de la liberté ne semble pas s'essouffler au contraire. Du quatre coins de la planète, les peuples se lévent les unes après les autres!
Et, bizarrement, les dictateurs n'arrivent pas à comprendre le moment de l'histoire.
Au sénegal, le vieux momie pense toujours qu'il s'agit "des manifestations d'humeurs", alors que le pays est au bord de la révolution.

Pour iog, le moment fatédique s'approche à grands pas,  le 6 mai, il perdra le dernier allier étranger (sarko), et contrairement aux nominations pour les élections minicipales, l'avenir du pays et d'iog pourra se jouer aux legislatives.

L'opposition djiboutienne aura un énorme responsabilité, si elle ne se met pas en ordre de bataille pour jouer l'avenir du pays en ce moment là et faire dégager le dictateur et sa clique.

Le peuple a trop attendu, l'opposition ne doit pas trop attendre l'explosion finale qui pourra reduire le pays en miette!

Donc, l'avenir du pays se jouera les six prochains mois, le mouvement du 18 fevrier doit reprendre pour aboutir sur une vraie révolution qui pourrait sauver le pays.

Chèrs(es) frères et soeurs nous connaissons le chemin actuel de la dictature.
Rien, ne changera pas si nous ne prenons pas notre destin en main.
Malgrés des promesses de départ, le dictateur ne partira pas.
Il a déjà fait des promesses similaires, il a juré sur le saint coran pour dire qu'il protégèrait la constitution, et tout le monde a vu de ce qu'il fait de ses promesses ou même aux promesses qu'il fait au tout puissant.
Non, ce genre de personnage ne connait que l'épreuve de force.
L'humilliant doit cesser.
La honte doit être lu dans leurs visages et pas les notres!
Nous devons sauver notre pays.

Vive Djibouti! Vive la révolution!
IOG DEGAGE, get out nabroud!

jeudi 5 janvier 2012

Nous sommes une democratie, n'est ce pas?

Voici la célèbre formule  qu'à laissé à la postérité le dictateur djiboutien lors son passage mémorable au france24.
La question n'est pas la formulation de la phrase en elle-même, mais qui la cite!

cette phrase a été prononcée par un des dictateurs le plus abject du continent africain, et visiblement çà ne le dérange pas de se présenter en tant que démocrate.

Soit le dictateur djiboutien ne comprend pas la signification du mot démocratie, soit il joue un jeu sordide de faire croire au monde que djibouti est une démocratie.

J'espère pour lui qu'il a encore le sens de la réalité, car son interview burlesque ne trompe personne.

Mais, la question, qu'on a le droit de se poser est: quelle mouche a piqué sarkozy pour faire dérouler le tapis rouge à un dictateur dont les chaussures sont souillés du sang du peuple djiboutien pour ne pas dire plus?

Nous avons déjà assisté, l'installation de la tente de kadhafi au plein cœur de paris, mais tous qui pensaient que cette époque était révolue, ont en pris pour leur grade!

La France de valise n'est pas encore finie.

Malheureusement, l'arrivée du dictateur djiboutien à l’Élysée a envoyé un message d'encouragement à beaucoup des dictateurs et a brouillé le message que le leader du monde libre (obama) essaie de faire passer: "le temps de la dictature est révolu".
Encore une fois, sarkozy a démontré au monde son incapacité à comprendre les aspirations des peuples du sud et son mépris pour la démocratie.
Il avait déjà affiché son  manque de vision et l'estime qu'il a pour les dictatures en recevant les dictateurs africains lors de la cinquantième anniversaire des pays africains, alors que de l'autre côté de l'atlantique le leader du monde libre, recevait l’espérance et l'avenir en l’occurrence la jeunesse africaine.

La comparaison ne s'arrête pas là, le premier voyage de sarkozy en Afrique, l'avait conduit au GABON, "le pays de valise en excellence et la dictature en mode héréditaire".
Alors, qu'Obama a rendu visite à la première démocratie africaine du temps moderne.

Alors, pour les démocrates djiboutiens(nes) qui ont vu le dictateur djiboutien attablé avec sarkozy, rien d'étonnant, sarkozy a toujours préféré les dictateurs.

Il a essayé de jouer le démocrate  pour surfer sur cette nouvelle vague pour assurer sa réélection, mais la nature revient au galop!

J'espère pour la France que l'humiliation va cesser en 2012.
La patrie des droits de l'homme a un rendez-vous avec l'histoire.

Les français seront ils cette fois-ci à la hauteur pour renouer avec leur glorieux passé d'être au côté des peuples pour la liberté ou ils seront battus définitivement par la république des valises.