dimanche 8 juillet 2012

La reprise de la révolution khamzine?

Même si cette question n'a pas de réponse dans l'immédiat, la probabilité pour que le mouvement de la liberté et la démocratie reprend ne fait aucun doute aux yeux de l'ensemble des djiboutiens(nes) sans parler du peuple de l'opposition qui s'impatiente à découdre avec le dictateur.
 Plusieurs signes manifestent en ce sens:
  1)  L'arrogance et l’humiliation du peuple par le couple démoniaque du "bet el wali! " atteint des proportions jamais égalées.
  2)  La disparition de l'allier  français (sarkozy).
  3)  Le front de la liberté et de la démocratie avance dans les anciennes dictatures , même s'il rencontre beaucoup d'obstacles surtout en syrie.
  4) Le courage du peuple syrien montre que le temps des dictatures est maintenant révolu.
  5) Le mouvement actuellement en cours au soudan  indique que la flamme de la liberté n'est pas éteinte par le sang du peuple syrien, mais au contraire prend racine dans les cœurs des peuples humiliés.
  6) A l'échelle nationale, la chute du mur anti-islamiste de l'occident  a donné des sueurs froids à la dictature qui comptait sur le chantage : dictature ou islamiste pour faire durer la survie de celle-ci.

En conséquent, des nouveaux acteurs s'invitent sur la scène nationale, les islamistes (certains modérés et d'autres plus intégristes).
Longtemps chouchoutés par la dictature pour faire peur aux occidentaux, ceux-ci deviennent l'ennemie à abattre et commencent à grossir les rangs de l'opposition qui n'en demandaient pas plus.
Même si les rapports de force commencent à être favorable à l'opposition de la dictature, celle-ci reste hétéroclite et sans âme.
En outre, la dictature reste ferme sur aveuglement  et ne propose aucune porte de sortie.
La situation reste explosive et la moindre étincelle pourra causer la fin du pays.
Nul n'en doute qu'il s'agit le souhait de la dictature pour échapper à la justice, mais l'incompréhension du peuple réside sur la léthargie actuelle de l'opposition.
Qu'attendent-ils pour laisser de côté leur ambition personnelle au service du collectif et du pays?
Qu'attendent-ils pour introduire la démocratie et les élections libres dans  leur instances et demander au peuple d'élire leurs représentants pour que ces derniers prennent contact avec le monde libre en tant que représentant du peuple djiboutien ?
En gros, nous attendons .................