jeudi 24 février 2011

Répression féroce à djibouti!

Après l'immense manifestation de l'opposition, le régime fait régner la terreur à djibouti.
Depuis dimanche dernier, le dictateur et le clan haid ont convié le pouvoir à un conseil de sécurité dirigé par le tortionnaire numéro un du pays.
En outre, ce conseil est composé par les cadres extrémistes du régime.
Ce conseil organise des enlèvements et des disparitions nocturnes dans tous les quartiers du pays.
Les arrestations et les tortures n'ont jamais été aussi nombreux à djibouti.
 L'espoir du régime est d'intimider les djiboutiens(nes) et les remettre dans les conditions de la peur collective.

Les intimidations et les menaces ont  également un autre objectif: éviter à tout prix des défections au sein du régime.
Le site porte-parole de la dictature(djibouti 24) a même publié des articles dont il menace de donner les noms des certains cadres du régime.
 D'après ce site, certains cadres veulent la chute de la dictature, mais d'après nos informations ils se montrent réservés à toute utilisation de la violence contre les manifestants, d'où, l'intimidation du site de la haine(djibouti24).
Actuellement, on peut dire que le régime a choisi la fuite en avant et pratique la politique des terres brûlées.
IOG, nous avait promis qu'il y aura la déluge après son départ, on dirait qu'il organise sciemment une boucherie du type kadhafi.
En attendant, de commencer la boucherie, il se mure dans un silence assourdissant.
De l'autre côté, le peuple djiboutien aspire à récupérer sa dignité(la liberté et la démocratie) et relever son drapeau.
Vu la lenteur de la réaction  de la communauté internationale contre la boucherie de kadhafi, iog se sent encourager dans la préparation de sa sale besogne.
Quelque soit la boucherie qu'iog prépare, le peuple djiboutien est plus déterminé à accéder à la liberté et la démocratie.
Deux nouvelles manifestations sont déjà prévues.
 - l'une le 25/02/2011 et l'autre 04/03/2011.

L'histoire a déjà condamné la dictature djiboutienne, mais la communauté internationale doit être vigilante pour ne pas dire "on ne savait pas!". En tout cas, le peuple djiboutien se souviendra qui était à leur côté dans ces moments difficiles.

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