voici le rêve d'un(e) djibnaute du forum djibnet sous le pseudo vivedjib. Moi, j'espère qu'il s'agira la réalité de tout un peuple.
"J'ai fais un rêve
J'ai fais un rêve d'une révolution réussie,
J'ai fais un rêve d'un pays où sa jeunesse éclate leur joie de retrouver sa dignité,sa liberté,
J'ai fait un rêve où la jeunesse djiboutienne se tient la main pour fêter leur victoire,
J'ai fais un rêve d'un pays libre et démocratique,
J'ai fais un rêve d'un pays prospère où la cohésion sociale est réussie,
J'ai fais un rêve d'un pays où l'ascenseur social est en marche,
J'ai fais un rêve d'un pays où Afars et Somalis ont fait table rase du passé,
Où le tribalisme est dépassé,
Où l'illettrisme et l'analphabétisme font parti du passé,
J'ai fais un rêve d'un pays où il fait bon à vivre,
Vive la république de Djibouti, Vive le peuple djiboutien"
dimanche 27 février 2011
L'art du dénigrement.
L'art du dénigrement comme celui de désinformation est fonction du degrés de méconnaissance de l'autre.
Plus on ne connait pas l'autre(l'étranger, l'autre clan, tribu, race) plus c'est facile de mettre des étiquettes sur son dos.
On se fait des fantasmes sur le physique de l'autre, son mode de vie, ses projets ect.
On utilise ces fantasmes pour discriminer des gens soit en fonction de leur physique, religion ou leur mode de vie culturel et social.
Même si le concept de la peur de l'autre est général, son utilisation pour discriminer est un acte condamnable et condamné par la communauté internationale.
Mais, certains pour accéder au pouvoir ou pour garder le pouvoir n'hésitent pas à exaspérer les tensions tribales, raciales ou religieuses.
Même dans les démocraties avancées, ces genres de réactions sont monnaies courantes, mais heureusement, la population a également accès à d'autres discours sur la tolérance, sur la bonté de l'autre et le mode de vie en commun.
Nous avons vu comme l'élection d'0bama a pu être possible en 2008, avec un message qu'il n'y a pas différence entre les américains(démocrate, républicains, noirs, blancs, metis ou latine).
Nous avons également vu comment la tentative de la droite française à stigmatiser les étrangers à échouer avec le débat sur l'identité nationale en France.
Si, dans les sociétés démocratiques, on peut faire échec à la tentative d'opposer les gens les uns aux autres, nous ne pouvons pas dire la même chose pour les régimes dictatoriaux.
Pour garder le pouvoir les dictateurs africains ont crée des sociétés de tribalistes dont le pouvoir appartient à un seul clan ou un ensemble des clans avec un pouvoir de surveillance.
Généralement, un dictateur n'a pas d'ami donc il n'y a pas d'association des clans pour garder une dictature en place.
Même s'il y a des accords avec d'autres clans ou tribus, le pouvoir est entre les mains d'une tribu et plus particulièrement du clan le plus proche du dictateur.
Dans le monde communication actuel, ces dictateurs ou leur clan veulent détourner les critiques sur leur tribalisme ou clanisme en discréditant les gens qui essaient de dénoncer ce genre de comportement.
En gros, ils essaient de traiter les autres(démocrates ou intellectuels) des tribalistes avant qu'on les traite des tribalistes.
L'exemple de djibouti est flagrant en ce sens.
Le petit clan du dictateur Guelleh et la famille de femme contrôlent l'ensemble des forces armées du pays, 85% des hautes fonctions de l'administration du pays, ainsi que 90% du secteur privé du pays.
Mais, certains du clan du dictateur ou Guelleh lui-même traite les opposants(DAF,ARA, DR ALI COUBA) ou les simples démocrates des tribalistes sous prétextes qu'ils dénoncent cet omniprésence de deux clans.
La question est de savoir, depuis quand les victimes sont devenus des gourous et les gourous des victimes?.
Beaucoup des djiboutiens(nes) sont victimes de cet art de dénigrement des opposants que la dictature a mis en place pour discréditer tout changement démocratique.
Suite à cette communication sciemment orchestrée par la dictature, beaucoup des djiboutiens(nes) confondent un changement de système par un changement tribale ou clanisme.
La stratégie de deux clans au pouvoir risque de causer la perte du pays ou au mieux leur perte.
Les djiboutiens et les djiboutiennes doivent méditer cette citation:
"Si la politique ne se fait pas avec vous, elle se fait contre vous".
Alors, nous n'avons pas d'autres choix que la démocratie, pour que la politique se fasse avec tout le monde.
Plus on ne connait pas l'autre(l'étranger, l'autre clan, tribu, race) plus c'est facile de mettre des étiquettes sur son dos.
On se fait des fantasmes sur le physique de l'autre, son mode de vie, ses projets ect.
On utilise ces fantasmes pour discriminer des gens soit en fonction de leur physique, religion ou leur mode de vie culturel et social.
Même si le concept de la peur de l'autre est général, son utilisation pour discriminer est un acte condamnable et condamné par la communauté internationale.
Mais, certains pour accéder au pouvoir ou pour garder le pouvoir n'hésitent pas à exaspérer les tensions tribales, raciales ou religieuses.
Même dans les démocraties avancées, ces genres de réactions sont monnaies courantes, mais heureusement, la population a également accès à d'autres discours sur la tolérance, sur la bonté de l'autre et le mode de vie en commun.
Nous avons vu comme l'élection d'0bama a pu être possible en 2008, avec un message qu'il n'y a pas différence entre les américains(démocrate, républicains, noirs, blancs, metis ou latine).
Nous avons également vu comment la tentative de la droite française à stigmatiser les étrangers à échouer avec le débat sur l'identité nationale en France.
Si, dans les sociétés démocratiques, on peut faire échec à la tentative d'opposer les gens les uns aux autres, nous ne pouvons pas dire la même chose pour les régimes dictatoriaux.
Pour garder le pouvoir les dictateurs africains ont crée des sociétés de tribalistes dont le pouvoir appartient à un seul clan ou un ensemble des clans avec un pouvoir de surveillance.
Généralement, un dictateur n'a pas d'ami donc il n'y a pas d'association des clans pour garder une dictature en place.
Même s'il y a des accords avec d'autres clans ou tribus, le pouvoir est entre les mains d'une tribu et plus particulièrement du clan le plus proche du dictateur.
Dans le monde communication actuel, ces dictateurs ou leur clan veulent détourner les critiques sur leur tribalisme ou clanisme en discréditant les gens qui essaient de dénoncer ce genre de comportement.
En gros, ils essaient de traiter les autres(démocrates ou intellectuels) des tribalistes avant qu'on les traite des tribalistes.
L'exemple de djibouti est flagrant en ce sens.
Le petit clan du dictateur Guelleh et la famille de femme contrôlent l'ensemble des forces armées du pays, 85% des hautes fonctions de l'administration du pays, ainsi que 90% du secteur privé du pays.
Mais, certains du clan du dictateur ou Guelleh lui-même traite les opposants(DAF,ARA, DR ALI COUBA) ou les simples démocrates des tribalistes sous prétextes qu'ils dénoncent cet omniprésence de deux clans.
La question est de savoir, depuis quand les victimes sont devenus des gourous et les gourous des victimes?.
Beaucoup des djiboutiens(nes) sont victimes de cet art de dénigrement des opposants que la dictature a mis en place pour discréditer tout changement démocratique.
Suite à cette communication sciemment orchestrée par la dictature, beaucoup des djiboutiens(nes) confondent un changement de système par un changement tribale ou clanisme.
La stratégie de deux clans au pouvoir risque de causer la perte du pays ou au mieux leur perte.
Les djiboutiens et les djiboutiennes doivent méditer cette citation:
"Si la politique ne se fait pas avec vous, elle se fait contre vous".
Alors, nous n'avons pas d'autres choix que la démocratie, pour que la politique se fasse avec tout le monde.
vendredi 25 février 2011
Médias tradionnels contre médias nouveaux?
Les révolutions réussies en 2011 ou en cours de réalisation, nous montrent l'importance des médias traditionnels (télévision, radio, presses écrites ..) ou nouvelles technologies( facebook, twitter, blogs, sites ...) dans la mobilisation des masses populaires ou la mise en lumière les réactions violentes des régimes.
Il y a bien longtemps que les dictateurs avaient compris l'importance des médias traditionnels.
La preuve, ils ont cantonné ces médias à l'unicité : une seule chaine de télévision, un seul journal et un seul radio. Ceci leur permet de diffuser leur propagande sans provoquer des voix discordantes.
Par contre, ces dictatures n'ont pas mesuré l'importance des médias des nouvelles technologiques. Généralement, ils n'ont pas les mêmes prises que sur les médias traditionnels.
En fait, la plupart pour ne pas dire la quasi totalité des dictatures actuelles sont installés avant l'éclosion des nouveaux médias.
En effet, le blocage est plus difficile sur les nouveaux médias à cause de la spécificité de ceux-ci. Et, leur interdiction est plus visibles que l'interdiction d'un journal d'opposition ou la fermeture d'une chaine de télévision suite à des faux procès.
L'introduction de ces nouveaux médias dans les foyers de chaque pays transforme les citoyens en des opposants en puissance.
Tout le monde peut accéder à d'autres informations que les propagandes des dictatures en place.
Beaucoup des jeunes affutent leurs discours d'opposants dans le monde virtuel avant de basculer dans l'opposition réelle.
Mais, ces nouveaux médias ont encore une limite de visibilité pour provoquer à eux seuls des révolutions ou des transformations notables dans ces dictatures.
A la lumière ce qui se passe actuellement, ces médias ont besoin d'un relai des médias traditionnels pour toucher un public plus important.
L'importance est que le peuple ne meurt pas en silence dans les dictatures.
Donc, le peuple djiboutien doit utiliser les nouveaux médias pour contrecarrer les plans machiavéliques de la dictature qui le soumet à une des dictatures la plus féroce d'Afrique.
Il y a bien longtemps que les dictateurs avaient compris l'importance des médias traditionnels.
La preuve, ils ont cantonné ces médias à l'unicité : une seule chaine de télévision, un seul journal et un seul radio. Ceci leur permet de diffuser leur propagande sans provoquer des voix discordantes.
Par contre, ces dictatures n'ont pas mesuré l'importance des médias des nouvelles technologiques. Généralement, ils n'ont pas les mêmes prises que sur les médias traditionnels.
En fait, la plupart pour ne pas dire la quasi totalité des dictatures actuelles sont installés avant l'éclosion des nouveaux médias.
En effet, le blocage est plus difficile sur les nouveaux médias à cause de la spécificité de ceux-ci. Et, leur interdiction est plus visibles que l'interdiction d'un journal d'opposition ou la fermeture d'une chaine de télévision suite à des faux procès.
L'introduction de ces nouveaux médias dans les foyers de chaque pays transforme les citoyens en des opposants en puissance.
Tout le monde peut accéder à d'autres informations que les propagandes des dictatures en place.
Beaucoup des jeunes affutent leurs discours d'opposants dans le monde virtuel avant de basculer dans l'opposition réelle.
Mais, ces nouveaux médias ont encore une limite de visibilité pour provoquer à eux seuls des révolutions ou des transformations notables dans ces dictatures.
A la lumière ce qui se passe actuellement, ces médias ont besoin d'un relai des médias traditionnels pour toucher un public plus important.
L'importance est que le peuple ne meurt pas en silence dans les dictatures.
Donc, le peuple djiboutien doit utiliser les nouveaux médias pour contrecarrer les plans machiavéliques de la dictature qui le soumet à une des dictatures la plus féroce d'Afrique.
jeudi 24 février 2011
Revolutions en cours dans le monde arabo-musulman!
Après les révolutions réussies en tunisie et en égypte, beaucoup des analystes occidentaux ont annoncé des révolutions en Algerie, maroc ou encore dans le golfe arabique(persique), mais rares ont été les gens qui avaient pronostiqué une chute de la dictature libyenne.
Nous avons même vu des médias qui avaient envoyé leur correspondant en Algerie.
Manque de bol c'est au libye que les événements se déchainent.
Ceci ne veut pas dire qu'il n'aura pas de révolution ou d'évolution en algerie ou en maroc, mais une chose est sûre actuellement le mode de penser des analystes occidentaux ou affiliés montre ses limites.
Alors, peut-on écarter qu'une autre révolution est en cours d'éclater dans un autre pays en dehors du cercle arabique que les médias occidentaux nous projettent à longueur des journées?
Alors, faisons un tour d'horizon des pays que le feu de la révolution a déjà pris et ceux susceptibles d'être dans quelques mois.
Pour l'instant, kadhafi tient la corde pour rejoindre Moubarack ou Ben Ali.
Malheureusement, la violence de la révolution libyenne n'augure rien de bon pour l'avenir de la libye.
Beaucoup des questions restent poser:
Quel est l'état de l'opposition actuellement en libye?
Qui assurera la transition pour créer un espace démocratique car apparemment l'armée libyenne a totalement explosé et a perdu en parti toute crédibilité?
Après la libye, le bahrein semble en pôle position, après un difficile début de révolution, il y a eu une intervention musclée pour ne pas dire violente de la police et de l'armée pour chasser les manifestants de la place de la perle.
La royauté a fait machine arrière. Elle est prête à des concessions, mais est-elle prête à disparaitre?
En tout cas, même si ce n'était pas la question centrale au début de la révolution, ceci se pose de plus en plus actuellement.
La révolution yéménite avait commencé à peu près en même temps que celle de l'égypte, mais a faillit s'essouffler après le discours du dictateur saleh sur sa volonté de quitter le pouvoir en 2013 et de ne pas présenter son fils comme successeur.
Malheureusement, pour le régime, les agressions contre les manifestants a insufflé une nouvelle énergie à la révolution.
Actuellement, le régime semble mal au point.
Les défections ont déjà commencé.
L'avenir du dictateur se compte en jours et plus en années comme il le souhaitait.
Des prémisses existent également en algérie ou en maroc.
Pour ces deux pays, des évolutions vers la démocratie semblent se dessiner.
Mais, il suffira une bavure pour déclencher des révolutions.
La palme d'anticipation revient au régime du dictateur soudanais.
Celui-ci vient de déclarer qu'il renonce à un nouveau mandat alors qu'il n'a pas "le feux au cul", même s'il vient de subir un vrai déculotté en sud-soudan.
Après un début prometteur la révolution de la Jordanie semble s'éteindre.
Il faut dire le roi a pris les devants et n'a pas utilisé la force.
Mais, celle-ci peut revenir en cas de chute de la dictature syrienne ou des révolutions réussies en algerie ou maroc.
Mais, ce que tout le monde oublie et qui risque d'être des nouveaux cas libyens: exemple les pays de population musulmans de la corne de l'afrique, comme l'érythrée ou Djibouti.
Ces deux pays sont dirigés par deux dictateurs mégalomanes qui iront au boutisme comme kadhafi.
Ils ne prendront pas les devants et essayons de calmer les manifestants par la violence.
L'exemple djiboutien est important.
Le pays vient de connaitre la première grande manifestation de son histoire et le dictateur iog persiste dans la répression. Ce cas peut vite se transformer un cas du type libyen.
En plus, le pays est composé des tribus comme le cas libyen.
Mais, à la différence de celle-ci, le dictateur iog semble être lâché par sa tribu.
Nous avons même vu des médias qui avaient envoyé leur correspondant en Algerie.
Manque de bol c'est au libye que les événements se déchainent.
Ceci ne veut pas dire qu'il n'aura pas de révolution ou d'évolution en algerie ou en maroc, mais une chose est sûre actuellement le mode de penser des analystes occidentaux ou affiliés montre ses limites.
Alors, peut-on écarter qu'une autre révolution est en cours d'éclater dans un autre pays en dehors du cercle arabique que les médias occidentaux nous projettent à longueur des journées?
Alors, faisons un tour d'horizon des pays que le feu de la révolution a déjà pris et ceux susceptibles d'être dans quelques mois.
Pour l'instant, kadhafi tient la corde pour rejoindre Moubarack ou Ben Ali.
Malheureusement, la violence de la révolution libyenne n'augure rien de bon pour l'avenir de la libye.
Beaucoup des questions restent poser:
Quel est l'état de l'opposition actuellement en libye?
Qui assurera la transition pour créer un espace démocratique car apparemment l'armée libyenne a totalement explosé et a perdu en parti toute crédibilité?
Après la libye, le bahrein semble en pôle position, après un difficile début de révolution, il y a eu une intervention musclée pour ne pas dire violente de la police et de l'armée pour chasser les manifestants de la place de la perle.
La royauté a fait machine arrière. Elle est prête à des concessions, mais est-elle prête à disparaitre?
En tout cas, même si ce n'était pas la question centrale au début de la révolution, ceci se pose de plus en plus actuellement.
La révolution yéménite avait commencé à peu près en même temps que celle de l'égypte, mais a faillit s'essouffler après le discours du dictateur saleh sur sa volonté de quitter le pouvoir en 2013 et de ne pas présenter son fils comme successeur.
Malheureusement, pour le régime, les agressions contre les manifestants a insufflé une nouvelle énergie à la révolution.
Actuellement, le régime semble mal au point.
Les défections ont déjà commencé.
L'avenir du dictateur se compte en jours et plus en années comme il le souhaitait.
Des prémisses existent également en algérie ou en maroc.
Pour ces deux pays, des évolutions vers la démocratie semblent se dessiner.
Mais, il suffira une bavure pour déclencher des révolutions.
La palme d'anticipation revient au régime du dictateur soudanais.
Celui-ci vient de déclarer qu'il renonce à un nouveau mandat alors qu'il n'a pas "le feux au cul", même s'il vient de subir un vrai déculotté en sud-soudan.
Après un début prometteur la révolution de la Jordanie semble s'éteindre.
Il faut dire le roi a pris les devants et n'a pas utilisé la force.
Mais, celle-ci peut revenir en cas de chute de la dictature syrienne ou des révolutions réussies en algerie ou maroc.
Mais, ce que tout le monde oublie et qui risque d'être des nouveaux cas libyens: exemple les pays de population musulmans de la corne de l'afrique, comme l'érythrée ou Djibouti.
Ces deux pays sont dirigés par deux dictateurs mégalomanes qui iront au boutisme comme kadhafi.
Ils ne prendront pas les devants et essayons de calmer les manifestants par la violence.
L'exemple djiboutien est important.
Le pays vient de connaitre la première grande manifestation de son histoire et le dictateur iog persiste dans la répression. Ce cas peut vite se transformer un cas du type libyen.
En plus, le pays est composé des tribus comme le cas libyen.
Mais, à la différence de celle-ci, le dictateur iog semble être lâché par sa tribu.
Répression féroce à djibouti!
Après l'immense manifestation de l'opposition, le régime fait régner la terreur à djibouti.
Depuis dimanche dernier, le dictateur et le clan haid ont convié le pouvoir à un conseil de sécurité dirigé par le tortionnaire numéro un du pays.
En outre, ce conseil est composé par les cadres extrémistes du régime.
Ce conseil organise des enlèvements et des disparitions nocturnes dans tous les quartiers du pays.
Les arrestations et les tortures n'ont jamais été aussi nombreux à djibouti.
L'espoir du régime est d'intimider les djiboutiens(nes) et les remettre dans les conditions de la peur collective.
Les intimidations et les menaces ont également un autre objectif: éviter à tout prix des défections au sein du régime.
Le site porte-parole de la dictature(djibouti 24) a même publié des articles dont il menace de donner les noms des certains cadres du régime.
D'après ce site, certains cadres veulent la chute de la dictature, mais d'après nos informations ils se montrent réservés à toute utilisation de la violence contre les manifestants, d'où, l'intimidation du site de la haine(djibouti24).
Actuellement, on peut dire que le régime a choisi la fuite en avant et pratique la politique des terres brûlées.
IOG, nous avait promis qu'il y aura la déluge après son départ, on dirait qu'il organise sciemment une boucherie du type kadhafi.
En attendant, de commencer la boucherie, il se mure dans un silence assourdissant.
De l'autre côté, le peuple djiboutien aspire à récupérer sa dignité(la liberté et la démocratie) et relever son drapeau.
Vu la lenteur de la réaction de la communauté internationale contre la boucherie de kadhafi, iog se sent encourager dans la préparation de sa sale besogne.
Quelque soit la boucherie qu'iog prépare, le peuple djiboutien est plus déterminé à accéder à la liberté et la démocratie.
Deux nouvelles manifestations sont déjà prévues.
- l'une le 25/02/2011 et l'autre 04/03/2011.
L'histoire a déjà condamné la dictature djiboutienne, mais la communauté internationale doit être vigilante pour ne pas dire "on ne savait pas!". En tout cas, le peuple djiboutien se souviendra qui était à leur côté dans ces moments difficiles.
Depuis dimanche dernier, le dictateur et le clan haid ont convié le pouvoir à un conseil de sécurité dirigé par le tortionnaire numéro un du pays.
En outre, ce conseil est composé par les cadres extrémistes du régime.
Ce conseil organise des enlèvements et des disparitions nocturnes dans tous les quartiers du pays.
Les arrestations et les tortures n'ont jamais été aussi nombreux à djibouti.
L'espoir du régime est d'intimider les djiboutiens(nes) et les remettre dans les conditions de la peur collective.
Les intimidations et les menaces ont également un autre objectif: éviter à tout prix des défections au sein du régime.
Le site porte-parole de la dictature(djibouti 24) a même publié des articles dont il menace de donner les noms des certains cadres du régime.
D'après ce site, certains cadres veulent la chute de la dictature, mais d'après nos informations ils se montrent réservés à toute utilisation de la violence contre les manifestants, d'où, l'intimidation du site de la haine(djibouti24).
Actuellement, on peut dire que le régime a choisi la fuite en avant et pratique la politique des terres brûlées.
IOG, nous avait promis qu'il y aura la déluge après son départ, on dirait qu'il organise sciemment une boucherie du type kadhafi.
En attendant, de commencer la boucherie, il se mure dans un silence assourdissant.
De l'autre côté, le peuple djiboutien aspire à récupérer sa dignité(la liberté et la démocratie) et relever son drapeau.
Vu la lenteur de la réaction de la communauté internationale contre la boucherie de kadhafi, iog se sent encourager dans la préparation de sa sale besogne.
Quelque soit la boucherie qu'iog prépare, le peuple djiboutien est plus déterminé à accéder à la liberté et la démocratie.
Deux nouvelles manifestations sont déjà prévues.
- l'une le 25/02/2011 et l'autre 04/03/2011.
L'histoire a déjà condamné la dictature djiboutienne, mais la communauté internationale doit être vigilante pour ne pas dire "on ne savait pas!". En tout cas, le peuple djiboutien se souviendra qui était à leur côté dans ces moments difficiles.
Revolution khamzine en cours à djibouti!
L'onde de choc de la révolution tunisienne touche également la corne de l'Afrique.
On peut dire que l'histoire s'est accéléré ces derniers mois dans le monde arabo-musulman.
Il y a encore peu de temps le mode était l'allongement des durées de vie des dictateurs Africains et arabes ou asiatiques.
Le dictateur djiboutien n'a pas fait d'exception pour faire durer son régime au-délà des deux mandats prévus dans la constitution djiboutienne. Malheureusement pour iog(dictateur djiboutien), le vent a changé de direction.
Après la révolution jasmin et la chute du pharaon(mourabak), la jeunesse djiboutienne, ainsi que l'opposition regroupée au sein deux grandes compositions(UAD et UMD) comprennent qu'il y a une occasion unique pour mettre à bas cette dictature clanique et tribale.
Il faut dire que la dictature djiboutienne a commencé avec l'indépendance en 1977.
Le père de l'indépendance, mais également le premier dictateur Mr GOULED a transmit le pouvoir à son neveu suite à des problèmes de santé.
Pourtant en 2001 et 2003, suite à une rébellion armée(frud) d'une partie de la population(ethnie: afar en particulier), le régime ouvre des négociations pour instaurer la démocratie.
Des accords ont été signés entre le régime et l'opposition (armée: frud et interne: prd & pnd).
Mais, ces accords restent lettre morte et pire la répression s'accentue sur les opposants(élimination physique pour certains, incarcération pour les autres).
L'esprit d'ouverture médiatique qui a suivi les accords, a été étouffé très rapidement.
L'ensemble des journaux d'opposition ont été interdits suite à des procès spectacles.
Un système clanique s'installe au sommet de l'état.
Ceci s'accentue avec la montée en puissance de la première dame du pays(kadra Haid) qui installe un système du type trableski tunisien à djibouti.
Ses frères et ses proches occupent des postes de hautes responsabilités au sein de l'administration.
Dans le secteur privé, aucune entreprise ne peut exercer à djibouti sans l'accord du clan Haid ou du clan iog.
Le racket et la corruption atteignent de niveaux non-égalés en Afrique et dans le monde.
Le clientélisme est le mot d'ordre au sein du régime.
Le chômage atteint des sommets, alors que la richesse des proches des deux clans devient indécent.
Les effets conjugués de la crise et le racket des prédateurs du régime, ont augmenté les prix de denrées alimentaires.
Ceci produit une situation très paradoxe où l'économie du pays est en croissance, mais que 80% des djiboutiens n'arrivent pas à manger de leur faim.
Beaucoup des familles mangent au plus une fois par jour.
Dans ces conditions, les ingrédients de la révolution étaient déjà en place à djibouti, mais les événements ont commencé à s'accélérer depuis les révolutions en tunisie et en égypte.
Dans l'histoire de djibouti, personne n'avait vu une telle masse de manifestants du 18 février 2011 depuis l'indépendance.
Tout le monde s'accorde à dire à djibouti, qu'il y a un avant et un après le 18/02/2011.
Pour une fois, le chape de plomb de la peur a disparu.
Pour l'instant, le régime répond par la violence; arrestation, torture et emprisonnement des opposants ou manifestants.
Mais, ceci n'entame en rien la détermination du peuple djiboutien à se débarrasser du régime.
Des nouvelles manifestations sont prévues.
L'histoire est en cours et l'onde de choc de la démocratie se propage dans le monde.
On peut dire que l'histoire s'est accéléré ces derniers mois dans le monde arabo-musulman.
Il y a encore peu de temps le mode était l'allongement des durées de vie des dictateurs Africains et arabes ou asiatiques.
Le dictateur djiboutien n'a pas fait d'exception pour faire durer son régime au-délà des deux mandats prévus dans la constitution djiboutienne. Malheureusement pour iog(dictateur djiboutien), le vent a changé de direction.
Après la révolution jasmin et la chute du pharaon(mourabak), la jeunesse djiboutienne, ainsi que l'opposition regroupée au sein deux grandes compositions(UAD et UMD) comprennent qu'il y a une occasion unique pour mettre à bas cette dictature clanique et tribale.
Il faut dire que la dictature djiboutienne a commencé avec l'indépendance en 1977.
Le père de l'indépendance, mais également le premier dictateur Mr GOULED a transmit le pouvoir à son neveu suite à des problèmes de santé.
Pourtant en 2001 et 2003, suite à une rébellion armée(frud) d'une partie de la population(ethnie: afar en particulier), le régime ouvre des négociations pour instaurer la démocratie.
Des accords ont été signés entre le régime et l'opposition (armée: frud et interne: prd & pnd).
Mais, ces accords restent lettre morte et pire la répression s'accentue sur les opposants(élimination physique pour certains, incarcération pour les autres).
L'esprit d'ouverture médiatique qui a suivi les accords, a été étouffé très rapidement.
L'ensemble des journaux d'opposition ont été interdits suite à des procès spectacles.
Un système clanique s'installe au sommet de l'état.
Ceci s'accentue avec la montée en puissance de la première dame du pays(kadra Haid) qui installe un système du type trableski tunisien à djibouti.
Ses frères et ses proches occupent des postes de hautes responsabilités au sein de l'administration.
Dans le secteur privé, aucune entreprise ne peut exercer à djibouti sans l'accord du clan Haid ou du clan iog.
Le racket et la corruption atteignent de niveaux non-égalés en Afrique et dans le monde.
Le clientélisme est le mot d'ordre au sein du régime.
Le chômage atteint des sommets, alors que la richesse des proches des deux clans devient indécent.
Les effets conjugués de la crise et le racket des prédateurs du régime, ont augmenté les prix de denrées alimentaires.
Ceci produit une situation très paradoxe où l'économie du pays est en croissance, mais que 80% des djiboutiens n'arrivent pas à manger de leur faim.
Beaucoup des familles mangent au plus une fois par jour.
Dans ces conditions, les ingrédients de la révolution étaient déjà en place à djibouti, mais les événements ont commencé à s'accélérer depuis les révolutions en tunisie et en égypte.
Dans l'histoire de djibouti, personne n'avait vu une telle masse de manifestants du 18 février 2011 depuis l'indépendance.
Tout le monde s'accorde à dire à djibouti, qu'il y a un avant et un après le 18/02/2011.
Pour une fois, le chape de plomb de la peur a disparu.
Pour l'instant, le régime répond par la violence; arrestation, torture et emprisonnement des opposants ou manifestants.
Mais, ceci n'entame en rien la détermination du peuple djiboutien à se débarrasser du régime.
Des nouvelles manifestations sont prévues.
L'histoire est en cours et l'onde de choc de la démocratie se propage dans le monde.
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