Le dictateur
djiboutien a définitivement condamné son régime le soir 10 septembre 2013 avec la
libération manquée des leaders USN du parti modéré : démocrate
musulman(model).
Guelleh avait
échoué plusieurs rendez-vous avec l’histoire du pays, mais ceci a sonné le glas de
son régime. Depuis, la défection des militants ou sympathisants ne cesse de
grandir.
Pour beaucoup
Guelleh a échoué lamentablement son pocker menteur avec les leaders de
l’opposition.
Depuis, plus
personne ne croit à une solution initiée par le régime IOG. La seule question
que le peuple djiboutien se pose est : l’opposition peut-elle réussir une
révolution de velours c’est-à-dire pas de trop de casses pour l’avenir du pays.
Quelques soient
les manœuvres du désespoir (création d’un parti tribal (USDD), création d’une coquille
vide infiltré (DDM), créer des tensions tribales etc.) que les sbires du régime
essaient de tenter pour prolonger la vie du malade agonisant d’haramous, les
dés semblent être jetés.
La coalition USN
commence à imposer son agenda et passe outre la violence sans limite du régime.
Après avoir
convaincu les djiboutiens de sa démarché pacifique pour changer le pays, en
acceptant de s’assoir avec un régime qui la violente, la harcèle jour et nuit.
Elle vient de passer à l’étape suivante qui est de convaincre la communauté
internationale.
L’histoire
retiendra que la première mèche a été allumé par un président (USN) qui a frôlé
la mort un mois plutôt et évacué en France pour des soins. Mr Houmed ne s’est
pas ménagé pour ouvrir une brèche médiatique sur la chape de plomb que Guelleh
avait imposé à coups des millions d’euros sur Djibouti et sur le peuple
djiboutien. La tournée triomphale de
Houmed dans les médias français, a permis de camoufler une opération commando
de l’USN à Addis Abébas, la capitale Ethiopienne et Africaine, siège de L’union
Africaine.
Jamais, une
opposition Africaine n’a montré une
telle maturité politique pour mettre hors-jeu un dictateur puissant et
expérimenté avec 36 ans de dictature.
Ces deux succès
majeurs à l’échelle africaine et mondiale, mettent l’opposition djiboutienne à
jamais dans l’échiquier politique du pays et interlocuteur crédible pour les
partenaires de Djibouti.
Conscient
d’avoir perdu la main, le dictateur joue la main clanique (le général zakarieh,
Djama Ali Guelleh, Ismael Tani ect) pour soudoyer les leaders d’opposition afin
qu’ils acceptent les dix sièges.
La main clanique
vient de recevoir une fin de non-recevoir
deux fois auprès du président de l’assemblée légitime : Guedi Hareh
et le doyen de leaders MRD Souleiman Farah Lodon.
La panique
commence à prendre les derniers cercles du pouvoir djiboutien. Certains ont
déjà commencé à envoyer femmes et enfants à l’étranger (Europe, Amérique du
nord).
La contestation
gagne désormais les provinces. La ville d’ali-sabieh, le chef-lieu de la région
aska vient de rentrer en résistance pour
la troisième semaine consécutive. Celle-ci vient d’être rejointes par le
chef-lieu de la région okar dikhil et la
ville d’Arta proche de la capitale Djibouti.
Du côté de la
diaspora, après Londres et Bruxelles, paris semble être le prochain rendez-vous
vue que le dictateur sera là pour la réunion
« paix et sécurité » du 6 et 7 décembre 2013.
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