Cette fois-ci, la dictature djiboutienne se trouve au pied du mur. La
panique commence à prendre les cercles proches du régime. Contrairement,
aux prévisions fantaisistes du régime, l'opposition reste unie et très
ferme sur ses positions. La dernière déclaration du président de
l'assemblée légitime Mr Ismael Guedi Hared a douché définitivement les
espoirs Guelleh qui a décidé de mettre DAF au trou pour avoir un tête à
tête avec une partie de l'opposition que le régime pensait plus docile.
Apparemment, peine perdu et DAF semble être au centre de la vie
politique à Djibouti, malgré les efforts d'iog qui d'après certaines
informations proches du régime a projeté de l’éliminer à plusieurs
reprises.
Sur le plan extérieur, la défaite de guelleh semble
être plus marquée. Après la condamnation du parlement européen sur les
exactions et les mauvais traitements des droits de l'homme à djibouti,
c'est au tour des états unis de mettre la pression sur le régime.
Dans
un communiqué cinglant daté du 17/07/2013, les états unis mettent le
régime djiboutien devant sa responsabilité en exigeant l'arrêt total de
la répression et l'ouverture d'un vrai dialogue avec l'opposition.
Même
si les atermoiements (déclarations ambiguës) du protecteur français,
ont un temps profité au dictateur Guelleh, la communauté internationale
commence à prendre ses distances avec le dictateur Guelleh. Dont le
double discours et l'incapacité de ce dernier à instaurer un vrai
dialogue commencent à agacer bons nombres des chancelleries occidentales
qui voient le spectre de l'instabilité pointé son nez.
En réaction du durcissement du ton du monde occidental, iog lâche ses chiens sur "l'étranger"!
Les
agences de presse (journal la nation et djib24) du régime commencent à
diffuser en boucle des discours de haine contre l'étranger à la limite
de la xénophobie.
La fuite en avant du régime est également
symbolisée par la répression féroce qui s’abat actuellement sur les
militants et les sympathisants du MRD, parti du leader DAF, dont le
régime accuse sa proximité au monde occidental.
Beaucoup rumeurs
circulent également sur des règlements comptes au sein du régime.
Celles-ci sont-elles les prémices d'une débandade du dernier cercle du
régime djiboutien dont beaucoup ne doutent plus leurs départs, mais le
moment de leur départs.
N'ayant pas su ou n'ayant pas les moyens pour évoluer le régime djiboutien semble se condamner à la révolution citoyenne.
La
fin du régime djiboutien semble se compter en mois, la France doit se
positionner rapidement pour ne pas encore avoir un train de retard comme
partout en Afrique.
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