Une rumeur insistante indique que le dictateur Djiboutien, Ismael Omar
Guelleh serait en train de se faire pouponner au val de Grâce à paris (France)
au service de cardiologique. A l’instar, de tous les dictateurs Africains, le
dictateur Guelleh s’offrirait des soins au frais de la princesse vue que chez
lui c’est un désert médical. A la place d’un service de cardiologique, chez
lui, Guelleh a investi, sur les appareils de tortures et des équipements
ultra-modernes pour suivre les activités des démocrates djiboutiens.
Et, pour le reste, la France veille et apporte son soutien, ainsi que
son assistance en cas de pépin de santé
ou des démocrates trop bruyants devant chez lui , au bien mal-acquis du sis 91
avenue Henry Martin (paris, dans le 16 arrondissement).
Pour cacher « l’ami encombrant » de la France, les médias
français veillent au grain et le silence est le maitre mot. La chape de plomb
médiatique que subissait le peuple djiboutien en révolte depuis plus d’un an,
commence à s’étendre sur le peuple français dont les impôts entretiennent des
dictateurs milliardaires qui ont pillé leur pays. Le manque d’informations est
une forme désinformation par omission que les médias français utilisent à
volonté pour suivre un ordre venu d’en haut afin d’assurer la tranquillité d’un
dictateur mal au point.
La connivence entre le dictateur Guelleh et les médias en France n’est
plus à démontrer suite à l’histoire de grands sous révélé par le site www.hch24.com qu’une interview
d’iog coûte 800000 euro au peuple djiboutien.
La question est, Guelleh, en dehors, du journal « jeu à fric » (jeuneafrique), n’a-t-il pas acheté le silence d’un certains nombres d’autres journaux ou chaines d’informations pour maintenir un blocus médiatique sur Djibouti et son un million d’otages ?
La question est, Guelleh, en dehors, du journal « jeu à fric » (jeuneafrique), n’a-t-il pas acheté le silence d’un certains nombres d’autres journaux ou chaines d’informations pour maintenir un blocus médiatique sur Djibouti et son un million d’otages ?
Il est également anormal que les autorités françaises protègent à tel
niveau un dictateur est dans un cadre de déplacement privé en France, en
interdisant les manifestations devant chez lui.
Quelques medias qui s’aventurent à relayer les informations des démocrates
djiboutiens sont attaqués violemment par
les chiens de gardes de la dictature qu’ils soient à Djibouti ou ici en France.
La question qu’on a le droit de se poser est : au-delà du
stationnement de la base militaire française à Djibouti que l’opposition
démocratique pourrait également garantir, quels sont les raisons cachées qui
oblige la France à protéger ce dictateur honni par son peuple ?
Une autre rumeur est également en train de circuler au sein du peuple djiboutien et
de la diaspora que Mr Guelleh serait juste là pour faire un check up au niveau de sa santé, mais qu’il est en train de rejouer le scénario de Gouled pour couronner
un de ses proches. Le moins qu’on puisse est qu’il y a des similitudes entre la situation actuelle et la
maladie imaginaire de Gouled, qui avait permit l’époque de regagner la sympathique du peuple djiboutien et ainsi la purge au sein de
ses proches pour couronner iog à la tête du RPP. Ensuite, un an avant l’élection, ils avaient réussi à éliminer physiquement le
principal opposant de l’époque : Mohamed Djama Elabeh. Alors, Guelleh
serait-il tenter de rejouer le même scénario et rentrer à Djibouti en tant
qu’un miraculé que le destin lui a laissé la chance d’accomplir l’ultime tâche
de couronner un de ses proches.
Quel que soit le scénario qu’iog ou le destin est en train de jouer,
l’opposition et le peuple ne doivent pas se faire piéger encore une fois. Un
dictateur reste un dictateur, mort ou vif. Evitons de tomber dans le fameux
syndrome de Stockholm sur le fait que les otages pleurent pour leur bourreau (le
preneur d’otage). Guelleh tient en otage le peuple djiboutien depuis 36 ans, il
est normal que certains ont peur du vide sans leur bourreau.
Du côté de la France, il serait digne qu’elle retrouve ses valeurs et
son rang en étant plus le paillasson des dictateurs Africains.
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