Le 18 Février 2011, le peuple djiboutien levait la tête et entamait la révolution khamzine pour dire non la dictature et au prolongement indéfini de la durée de celle-ci.
Comme tant d'autres peuples epris de liberté le peuple djiboutien souhaitait mettre fin la dictature de 30 ans.
Contrairement à d'autres peuple, le peuple djiboutien n'a pas pu faire évoluer sa révolution au point de non-retour qui aurait basculé le pays en état de reveil de la conscience du peuple.
Le reveil de la conscience n'a pas pu avoir lieu, même si le dictature a vu passer de très près.
Nous voici, l'anniversaire de cette date dont beaucoup des jeunes ont cru la fin de la dictature.
Que peut-on dire de ce jour si exceptionnel que le régime a des sueurs froids sur le seul fait d'y penser!
Et, depuis qu'a changé le régime pour éviter qu'un tel jour se présente à nouveau pour aller au bout cette fois-ci.
Je peux vous affirmer que rien n'a été changé!
Le régime compte toujours sur sa force.
Le pays est toujours aussi si mal gouverné! Et, la dégradation continue à un rythme jusqu'à là non égalé!
La situation du peuple se dégrade de plus en plus.
L'injustice continue a être la colonne vertebrale de la gouvernance actuelle.
La corruption atteint son niveau le plus élevé, alors que les djiboutiens pensaient que l'éviction des "vieux corrompus", allait provoquer un electrochoc au seins de l'administration et faire peur aux jeunes loups affamés.
La réalité fut bien plus différente, ce gouvernement semble être le corrompu jamais nommé.
Le dictateur fait comme à son habitude des promesses de départ et se permet même de partager avec nous ses réflexions sur la transmission du trône à quelqu'un qu'il choisira au moment venu!
De l'autre côté, le peuple djiboutien hésite entre la situation de mort long que le dictateur l'impose, ou le fleuve des sangs que le régime les abreuve à longueur des journées à travers la télévision en montrant les détails des massacres perpetrés par ses collègues dictateurs aux autres peuples frères (syriens, yemenites) qui essaient de se liberer!
En plus, l'opposition djiboutienne manque cruellement de cohésion et des idées novatrices pour pousser le régime à la faute. Elle attend toujours la fenêtre de tir pour sortir du bois!
La dictature a toujours des soutiens à l'étranger (surtout en france: sarkozy) en échange des valises de faux billets blanchis via la banque national.
Pourtant, le régime aurait tort d'attendre, car le vent de la liberté ne semble pas s'essouffler au contraire. Du quatre coins de la planète, les peuples se lévent les unes après les autres!
Et, bizarrement, les dictateurs n'arrivent pas à comprendre le moment de l'histoire.
Au sénegal, le vieux momie pense toujours qu'il s'agit "des manifestations d'humeurs", alors que le pays est au bord de la révolution.
Pour iog, le moment fatédique s'approche à grands pas, le 6 mai, il perdra le dernier allier étranger (sarko), et contrairement aux nominations pour les élections minicipales, l'avenir du pays et d'iog pourra se jouer aux legislatives.
L'opposition djiboutienne aura un énorme responsabilité, si elle ne se met pas en ordre de bataille pour jouer l'avenir du pays en ce moment là et faire dégager le dictateur et sa clique.
Le peuple a trop attendu, l'opposition ne doit pas trop attendre l'explosion finale qui pourra reduire le pays en miette!
Donc, l'avenir du pays se jouera les six prochains mois, le mouvement du 18 fevrier doit reprendre pour aboutir sur une vraie révolution qui pourrait sauver le pays.
Chèrs(es) frères et soeurs nous connaissons le chemin actuel de la dictature.
Rien, ne changera pas si nous ne prenons pas notre destin en main.
Malgrés des promesses de départ, le dictateur ne partira pas.
Il a déjà fait des promesses similaires, il a juré sur le saint coran pour dire qu'il protégèrait la constitution, et tout le monde a vu de ce qu'il fait de ses promesses ou même aux promesses qu'il fait au tout puissant.
Non, ce genre de personnage ne connait que l'épreuve de force.
L'humilliant doit cesser.
La honte doit être lu dans leurs visages et pas les notres!
Nous devons sauver notre pays.
Vive Djibouti! Vive la révolution!
IOG DEGAGE, get out nabroud!